http://www.lofficielmode.com/defiles/roberto-cavalli-p-e-15/
Par Louis Bompard
“Alors, c’était comment Cavalli ?”. Voilà le genre de questions que nous sommes habitués à nous poser entre journalistes, lorsqu’il arrive à l’un d’entre nous de manquer un défilé. Et si elle arrivait à propos du show d’hier, il serait difficile d’y répondre tellement le champ stylistique proposé par le créateur dans cette collection est large. Lorsqu’il semble nous emmener dans une direction, le voilà qui fait demi-tour.
Les premiers passages de ce printemps-été, des robes longues plissées et imprimées, s’ajourant de bandes transparentes amènent avec elles l’idée d’une femme pop, extravertie et optimiste. Ok, elle, on la connait. Puis, petit à petit, les ensembles en mousseline et dentelle blanche lui confèrent une chasteté que l’on ne connait pas forcément à la femme Cavalli. Elle en serait presque timide. C’est un bol d’air, une parenthèse légère et romantique, apaisante. Puis du denim effiloché fait son apparition. Tiens, elle s’encanaille à nouveau ! Cela, avant que les fans de toujours de Roberto Cavalli présentes au premier rang retrouvent ce qu’elles étaient venue chercher: l’accroche-regard du crocodile argenté ou le léopard fétiche du créateur florentin, travaillé cette fois-ci en dentelle noir laissant apparaître un fond lamé.
Une collection difficile à analyser, certes, mais finalement tellement Cavalli: libre, pimpante et éclaboussante comme une bouteille de champagne remuée.
Par Louis Bompard
“Alors, c’était comment Cavalli ?”. Voilà le genre de questions que nous sommes habitués à nous poser entre journalistes, lorsqu’il arrive à l’un d’entre nous de manquer un défilé. Et si elle arrivait à propos du show d’hier, il serait difficile d’y répondre tellement le champ stylistique proposé par le créateur dans cette collection est large. Lorsqu’il semble nous emmener dans une direction, le voilà qui fait demi-tour.
Les premiers passages de ce printemps-été, des robes longues plissées et imprimées, s’ajourant de bandes transparentes amènent avec elles l’idée d’une femme pop, extravertie et optimiste. Ok, elle, on la connait. Puis, petit à petit, les ensembles en mousseline et dentelle blanche lui confèrent une chasteté que l’on ne connait pas forcément à la femme Cavalli. Elle en serait presque timide. C’est un bol d’air, une parenthèse légère et romantique, apaisante. Puis du denim effiloché fait son apparition. Tiens, elle s’encanaille à nouveau ! Cela, avant que les fans de toujours de Roberto Cavalli présentes au premier rang retrouvent ce qu’elles étaient venue chercher: l’accroche-regard du crocodile argenté ou le léopard fétiche du créateur florentin, travaillé cette fois-ci en dentelle noir laissant apparaître un fond lamé.
Une collection difficile à analyser, certes, mais finalement tellement Cavalli: libre, pimpante et éclaboussante comme une bouteille de champagne remuée.
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